La Cour d’Appel de Chambéry vient de juger dans un arrêt du 29 mars 2022 que la demande de prorogation annuelle de l’engagement de construire doit notamment comporter les raisons du non-respect de l’engagement dans le délai initial de 4 ans et que le projet doit être adapté aux règles d’urbanisme applicables afin que le demandeur soit en mesure de respecter son engagement à court ou à moyen terme.
Cour d’appel de Chambéry, 29 mars 2022, n° 20/00363